Journal du Loups

Maudits Charss^^

Les salauds!

Bon, essayons de résumer,
je suis Rodor Acclamator, Seigneur des Loups de Haute-Lune, défenseur du Nord, protecteur de la Lumière Hivernale. Je suis venu en Tyrie pour aider le peuple d’Ascalon contre la menace Charr. J’ai un frère que je n’ai pas revu depuis quelques années, et une fille qui m’attend sagement à la citadelle de Haute-Lune. A mon arrivé en Ascalon, à la tête d’un ost de guerre, nous dûment subir plusieurs assauts de ces fameux démons à fourrure. Quand je pu enfin mettre pied à l’abri du Grand Rempart, j’étais le dernier représentant de mon peuple en Tyrie. Epuisé et perdu dans les ruines d’Ascalon, je décidais alors de rechercher un ami de longue date. Le trouvant au siège de la guilde dont il commandait en t'en qu’officier, je décidai alors d’incorporé ce groupe de guerriers. Aujourd’hui me voila, les batailles ce sont enchaînées, les victoires comme les défaites. Mais aujourd’hui, les ennemis des fiers Chevaliers de la Morts devront, non pas affronter un simple guerrier, mais la puissance du grand Nord et des Loups.

Encore une journée bien animée.
La Guilde était en manoeuvre, à la Dune du Desespoire. Les Chevaliers de la Morts, les plus grands combatants avaient répondu présent à l'appel des Hauts Officiers. Malheureusement, la victoire nous à échappée de peu. Nous avons trouvez des énemis de notre niveau. Malgré les pertes, le courage n'a pas abandoné les fiers Chevaliers, aidé dans leur quête pas une alliée de point. Le jour ce couche une nouvel fois sur la Tyrie, masquant les vestiges des féroces combats d'aujourd'hui.

Comme le disait mon instructeur,
« Les bonnes journées sont sanglantes. »
Et ce fut le cas, en aidant un ami (mon frère HRP) nommé Kyros Ventdemort, je n’ai pas arrêter de courir. Ensuite, C’est pour aidé les grandes Dames de l’Alliance, dans une marche folle au milieu des CimesFroides du sud. J’ai rencontré une sublime femme, nommé Louve. Le grand guerrier aurait-il une faille dans son armure ? Peut être la solitude d’une vie faite de combat me lasse un peu. Depuis mon départ de Haute-Lune, je n’ai pas eu de véritable vie. Les combats ce succédant sans répit, m’emprisonne de plus en plus dans une nuit éternelle. N’aurais-je donc pas le droit a une vie ordinaire, une humble masure dans une vallée, un lopin de terre cultivable, du pain chaud qui sort du four. Rodor ressaisi toi ! Tu n’es pas ici pour cela. Bien je reprends la route pour de nouvelles aventures. Puisse les Dieux me protéger.

Ce jour est sacré pour les Ascalonniens, c’est le jour de la cérémonie honorant l’avènement de la Fournaise. Toutes les personnes d’Ascalon, et même de plus loin encore, arrêtent leurs affaires pour méditer et prier les âmes des défunts. C’est un grand moment, et l’ambiance me prend le cœur, moi aussi j’ai perdu des êtres chers durant la Fournaise, et les batailles qui suivies. Leyhan Milador, qui organisait la cérémonie au temple de la Sérénité me fit le grand honneur de me demander d’honorer les morts au nom de Balthazar. Ce que je fis dans une totale improvisation, mais mon cœur à parler pour moi, et c’est avec la plus grande sincérité que je pris la parole. L’émotion me submergea un temps, puis suivirent une grande fête chez nos amis de la guilde de l’Aurore éternelle. Epuisé par cette journée forte en émotions, je décidai de me reposer un peu. Et c’est sur le chemin de retour, je fit une des plus agréable rencontre. Ma fille, Skadi, qui m’avait promit de ne pas quitter la citadelle de haute-Lune, était venue avec un ost en Tyrie. Après des retrouvailles touchantes, je ne manquais pas de la réprimander un brin, après tout je suis quand même son père ! Mais je me sens mieux avec elle auprès de moi, je suis sur qu’elle va bien. J’assignais les guerriers de l’ost à la défense de la citadelle INRI, onze hommes d’arme en plus ne ferraient pas de mal aux défenses de la citadelle. Puis après de longues heures de discutions avec Skadi, nous partîmes pour la citadelle d’Ëa, où je résidais pendant quelques temps. Le destin nous a réuni, pour le plus grand malheur de nos ennemis.